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Richter Kurogane

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Richter Kurogane Empty
MessageSujet: Richter Kurogane Richter Kurogane EmptyDim 31 Oct - 20:33

Avatar :

Richter Kurogane 10103109155093799

" Kurogane de Tsubasa Chronicles "



Général :

Nom : Richter
Prénom : Kurogane
Âge : 266 ans
Groupe : Chains
Rang :
Surnom : Le Dragon Sanglant


Carnet de Santé :

Groupe sanguin : O+
Allergie(s) : Aucune.
Problème(s) de santé : C'est littéralement un malade mental.
Manie(s) : Vider de leur sang ses victimes.



Votre Description :


Description physique :

Je ne vois pas pourquoi je devrais ici détailler mon être pour vos beaux yeux, franchement si ceux-là marchaient correctement il n'auraient qu'à admirer ma photographie.N'est-ce-pas assez éloquent pour vous renseigner pauvres créatures crétines ? Apparemment oui. Et bien d'accord faisons, faisons mes bons amis humains, puisque votre jugeote vole au ras des marguerites,puisque votre espèce n'est apparemment capable de rien, oui faisons car il semble certain que je sois là l'unique personne digne d'intérêt.

Dans le monde absurde des mortels ou dans l'Abyss cafardeuse, en tout moment, en tout lieu j'arbore une apparence humaine, celle d'un jeune homme d'une vingtaine d'année à la silhouette élancée, svelte et droit comme les barres de fer que vous autres fabriquez. Des chiffres vous me demanderiez, mais les chiffres mes pauvres ne sont que trop dérisoires, trop réducteurs pour quelqu'un pareil à moi. Et ma peau crème, mes membres fins et agiles vous les subissez. Ils labourent vos chairs de coups, les déchirant, les meurtrissant, et votre sang pourpre, carmin, que sais-je encore, inévitablement coule... C'est Catarcys dans mes mains qui vous heurt, cette grande lame au manche noir, sortit de son fourreau nuit, si fébrile sous les doigts, qui brille d'un éclat meurtrier. Elle, ma fidèle, la seule...


Ah je souris mes froussards, j'exulte;toute mon âme de Chain le réclame, vous le savez Humains de quoi je parle... Oui, le massacre ! Le forfait de la chair et puis votre vie! Je me figure déjà, vous tendu sous mes mains tremblant de cette peur irraisonnée, tout aussi pitoyable que les rats que vous exterminez à vue, pleurnichant lamentablement, suppliant, priant, en vain. Et, quand vos larmes sèche d'avoir trop pleurer, votre esprit vous quitte autant que l'hémoglobine m'imbibe, souillant ma chemise blanche, dégoulinant profusément sur ce bas de cuir qui jamais ne me laisse. Et je me dit là, qu'ils font bien pâles mine à présent ces lambeaux de tissus; et qu'ils étaient fort judicieux d'avoir ôtés ce longs manteau sombre, ce jabot vermeil. Alors enfin, sous la brise qui fait s'élever ma chevelure encre, enfin je rirais.


Description mentale :

Car moi je vous écrase, je vous piétine, je vous tue. Vous bêtes de la Terre comme eux, Chains faiblard. Qu'importe les cris, les plaintes, je tortures et fait gémir, fait souffrir. J'extrais la moindre parcelle de sang avec envie, plaisir, et je me régale de la souffrance. Elles sont serviles, mes petites victimes, et je me joue d'eux comme un marionnettiste, j'anime leurs fils et régente leur corps. Je leur fait miroiter la cruauté de leur existence, cette fugace et fragile vie qui se brise en une fraction de seconde. C'est je crois quand elles supplient que je les aime et les déteste le plus, à ce moment précis je sens l'effroi parcourir chacune de leurs cellules, ah, leur terreur qui me repaît est si belle, et leur yeux tant rempli de ce déni de mort ! Oui qu'elles sont belles ces petites sacrifiées, on me dirait malsain mais oui,oui, oui vos si horribles mots sont pour moi les plus merveilleux des compliments. Mauvais, pervers,insensible, monstrueux, suffisant, et bien oui je le suis, vos cauchemars ne sont que moi...

Je les coupe, les fils et...mourrez, mourrez enfin jouets cassés...



Biographie :

Il ne le dira pas. Pour rien au monde et surtout pas à vous. J'ai bien peur qu'il vous méprise, mais passons tout ceci je m'en moque car votre sort m'indiffère, oui quand je tranche vos gorges et transperce vos corps cela ne me fait rien... Il y a longtemps déjà que cela ne me fait plus rien. Au pourquoi si vous vous interrogez, la réponse se trouve dans le passé, le sien si intimement lié au mien comme l'avenir qui s'étale devant nous. Lui-même que je sais teinté fatalement de rouge...
Le début de sa vie si étrange qu'elle soit ne me voit pas encore intervenir, et lui et moi n'étions pas encore ce que nous sommes aujourd'hui. Vous ririez sûrement mais c'est vrai, au commencement il fût un loup. Un loup, qui s'il n'avait pas errer dans les rues miséreuses de la grande ville aurait pu paraître beau. Un loup rachitique au poil terne d'ébène, méfiant et blessé. Un loup à l'existence animale jonchée de tourment, de désillusions cruelles...

Louveteau on l'avait arraché à sa mère, on l'avait privé d'elle, sa petite maman galeuse; certes elle n'était pas bien belle mais il l'aimait quand même. Et, quand ces grands bras le saisirent, l'emportèrent loin il sut qu'il ne la reverrait jamais prisonnier qu'il était des caprices de l'Homme et de son bon vouloir. Parce que oui, ils voulaient s'amuser, ils voulaient se faire peur, voir comment ces animaux féroces marchaient, s'ils avaient mal, s'il pleuraient. Si un loup pouvait gentiment dormir dans un panier comme un chien. Mais à le serrer si fort dans vos maisons bourgeoises, enfants, il mordit, si fort les fragiles menottes qu'on le chassa. On s'était lassé, ennuyé, la petite peluche n'avait plus d'intérêt, on la jetait. Ce n'était qu'une bête sauvage après tout, quelle importance pouvait-elle avoir...

Alors le loup eut mal, des vagues à l'âme, et il était triste. Et il avait faim. Il dût ainsi pendant de longues années survivre en ne comptant que sur lui-même. Parfois un humain lui tendait une quiche de pain, de la viande ou que sais-je d'autre, il prenait et s'en mordait les pattes. Des petits humains venaient et le frappaient, encore, encore, avec une barre de fer, un bâton ou leurs pieds et lui hurlaient, se débattaient mais rien n'y faisait. Les minutes passaient et eux n'arrêtaient que lorsqu'ils étaient certain que la "chose toute maigre" ne criait plus. Lorsque la moindre supplique restant bloqué, faisait s'agiter les caillots de sang dans sa gorge.
Agonisant dans les ruelles sordides, le loup se pensa trop faible; il jura donc, se promit de devenir plus puissant, de se venger, de leur faire payer à tous.

Ici j'interviens, car c'est là qu'un matin je le rencontrai, lui à la recherche de son déjeuner prochain, moi dormant sur les pavés. J'étais quelque chose, les humains disaient panda, panda miniature, un spécimen rare et unique mais je ne savais pas ce que cela signifiait. Aussi s'étonna-t-il de rencontrer pareil animal. Tant et si bien qu'il renonçât à me manger.
Alors en cet instant, sa gueule agrandie par les années s'étira étonnamment en un rictus, un sourire balayé de crocs acérés. Non il ne voulait pas me déchiqueter en morceaux, ni réduire en bouillie informe ma figure bouffie, non, c'était juste le signe qu'il avait compris, que j'étais au fond identique à lui, une poupée amusante que l'on jette ensuite quand plus beau encore, plus magnifique vient... Et oui penserez-vous, enfin sa survivance devint la mienne, et nous deux pauvres âmes déambulant dans ces chemins citadins furent gagnées par la notion abstraite que l'on appelle amitié.

Mais le loup et le panda ne purent continuer à vivre en tant que tel, et un soir alors que j'agonisais, grièvement atteinte par un vulgaire piège en ferraille, une lumière vive nous enveloppa et le sol se déroba. Nous fûmes happé par ces faisceaux, impitoyablement engloutie dans toute cette hargne, cette haine, cette force invisible qui nous comprimait jusqu'au cœur. Qui taisait de silence les palpitations de nos êtres, et aspirait hors de nous l'oxygène porteur de vie. Je mourais doucement, sans maux aucuns dans la plus détestable lenteur qui soit. Le temps, ce coquin, parût même vouloir abattre sur ma têtes mille foudres car en expirant c'est une éternité qui passait et repassait à l'infinie, m' abrutissant toujours plus de secondes et minutes à rallonge.

Quand, enfin, le réveil. Je me souviens avoir pensé que tout cela était fort étrange. Il était partout, il m'entourait et loup n'existait plus et pourtant je le sentais. Je ne le voyais pas, mais je voyais tout. Sa douleur, ses ressentiments exacerbés.
L'évidence me frappa, j'étais un bout de lui.

Il m'a dit que j'étais morte. Je ne l'ignorais pas. Il m'a dit que lui aussi. Je n'ai pas saisi.
Il a grondé. L'endroit dans lequel nous étions n'était pas normal, c'était il me l'apprendrait plus tard l'Abyss...

Lui s'était nommé Kurogane, moi Catarcys, et nous, nous étions un Chain.

Pouvoirs :


Kurogane en tant que Chain spécial peut aller et venir entre l'Abyss et le monde des humains. Il est agile et possède un bon niveau au corps à corps. Catarcys qui est une partie de lui ne peut pas prendre le contrôle de son corps, elle n'a aucune emprise sur lui ( elle peut toujours faire son criquet intérieur mais bon, c'est pas dit que Kurogane obéisse ) mais peut se manifester sous forme de longue lame au manche noir (c'est une arme avec une âme, on peut dire qu'elle est vivante d'une certaine manière, m'enfin, ayant une conscience propre, Catarcys a ses petits travers, si elle va bien tout est chouette, si elle ne va pas bien, y'a de grande chance pour que Kurogane en pâtisse, car affaiblie Catarcys pourra se briser plus facilement, m'enfin si vous voulez l'atteindre elle, (c'est un peu le coeur liquide dans le très dur chewing-gum) faudra déjà savoir qu'elle existe ). Kurogane l'extrait de ses paumes. Elle possède une capacité spéciale, le Mirror Slash : Une blessure infligé, par exemple sur le bras droit, se verra automatiquement reproduite sur le bras gauche, de manière symétrique donc, dans un délai de quelques minutes...




Hors-Jeux


Comment avez-vous découvert ce forum ? : Par un animal qui fait miaou.
Aimez-vous le design ? : Noui.
Votre niveau de RPG : Acceptable.
Autre : Hii. Ratatouille !
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Invité
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Richter Kurogane Empty
MessageSujet: Re: Richter Kurogane Richter Kurogane EmptyMar 2 Nov - 16:13

Et bien, et bien... Intéressante comme histoire. Rien à ajouter. Rien à contre-dire. Je te valide donc. Qui n'est pas d'accord avec moi s'exprime à la suite.
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Richter Kurogane

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