Le matin montrait le bout de son nez, doucement les rayons qu’il produisait était de plus en plus fort et nombreux, à travers les rideaux je pouvais apercevoir la lumière de ces rayons. Les oiseaux ce réveillaient à leur tour, produisant une agréable mélodie qui traversait les fenêtres de ma chambre pour parvenir à mes oreilles, une douce mélodie qui vous endormaient plus que vous réveillaient. A vrai dire je ne savais pas quel l’heure il était, mais tôt, sans doute trop tôt au gout de pas mal de personne, mais moi, j’avais du travaille, même beaucoup, aujourd’hui je n’avais pas le temps de pavaner dans mon lit. Mes yeux avaient du mal à s’ouvrir mais pourtant il fallait que je me lève, je n’étais pas grandement décidais à sortir de mon lit, malheureusement, je n’avais pas le choix, malgré le soleil il ne faisait pas très chaud. Je rêvassais encore quelques minutes, puis la gouvernent entrait m’enlevant au passage tout mes rêves de grasse matinée, elle venait me lever...

-Il est l’heure de vous levez Mademoiselle.

Elle avait toujours le même mot à la bouche, se lever, certes elle n’avait pas tord et je ne dormais plus, je voulais juste rester là, sans rien faire. Je lui répondais par un grognement pour enfin me décidais de sortir de mon cher et tendre lit. Avant d’aller prendre mon petit déjeuner, je me recoiffais un peu, même pour un simple petit déjeuner je devais me faire belle… Enfin si je puis dire. J’enfilais rapidement une robe que j’avais prise au hasard, elle trainer dans mon placard, je prenais donc la première que je trouvais. Je savais que je devais me changer l’après-midi, j’avais oublié pourquoi, mais cella aller revenir. Je prenais mon petit déjeuner, du thé accompagné de gâteaux. La matinée allait être longue, à force de retarder au lendemain se que je pouvais faire le jour même, une pille de feuille avait recouvert mon bureau, je devais les lires, les triés et les signer.

Je m’enfermais dans mon bureau pour ne pas être distraite par des gens qui auraient pu venir, pour je ne sais qu’elle raison. Avant de m’atteler au travail, je regardais un peu par la fenêtre. Je voyais le jardin, il était resplendissant, doucement les fleurs à la vu du soleil se réveillaient, le soleil brillait déjà pourtant la matinée venait juste de commencer…Encore un jour ou je ne pouvais profiter de ce temps, travailler, travailler, et m’amuser alors, malgré mon rang je n’avais pas le droit ? Je reprenais mes esprit et m’asseyait sur ma chaise, avec tout ces papier, on ne me voyait même plus, je sais que je n’étais pas bien grande mais tout de même.
Je n’allais pas lire tous cella, je feuilletais, lisant une ligne sur deux, c’étais bien suffisant, je m’étais ma signature sur ces différentes feuilles, avec ça tous le monde étaient content, pensant que je l’ai avais lu.

Au détour d’un règlement sur le prix des pommes de terre, je trouvais, posé là sur mon bureau, une feuille que je n’avais pas vu. Je ne sais pas pourquoi mais je décidais de la lire, un pressentiment surement. Il était d’ailleurs temps que je la lise.





-De nombreux ducs et duchesses, hum…intéressant. Je me demande qui sont ses personnalité local qui peuvent bien si rendre ?

Je regardais l’heure, après tout, je pouvais encore faire l’honneur de ma présence, je sortais de mon bureau à toute enjambé, soulevais délicatement ma robe pour que celle-ci ne traine pas sur le sol, je cherchais des gouvernantes pour m’aider à me préparer, au détour d’un couloir, j’en croisais une. Un peut retissant au départ, vu que personne n’avait été prévenu que j’allais m’absenter, même pas moi, elle finissait par accepté dans mes préparation.

J’enfilais une jolie robe de couleur rose, mettais un chouchou tout neuf dans mes cheveux, ainsi qu’une paire de petite chaussure accompagné de petit talon. Je chargeais un majordome, de prévenir ma chère mère de mon absence cet après-midi et dans la soirée. A cette inauguration, je ne comptais pas rester bien longtemps, juste faire acte de présence par pure politesse.
Le trajet allait durée un peut de temps tout de même, voilà pourquoi il ne fallait pas que je perde de temps, les calèches étaient déjà prête, il ne manquer plus que moi. Environs deux heures plus tard, le temps que je me prépare et en informe certaine personne, j’étais fin prête à me rendre à ce mystérieux château avec tous ces invitées. Je montais dans la calèche qui s’était avancer dans l’allée, je m’installais sur une des banquette rouge, nous quittions le manoir Rainsworth pour nous rendre au alentour de Leverru.