Général: Nom: (Von) Friedhof Prénom: Märchen (se dit mèrchen) Âge: 22 Groupe: Associés défendu Rang : Juste un type fou et malheureux Surnom: Mär Carnet de Santé: Groupe sanguin : Inconnu Allergie(s) : A ta tronche aucune~ Problème(s) de santé : mental: Fou Manie(s) : tuer

Description physique:

Du noir. Du rouge. Du violet. Les vives couleurs représentants la souffrance, l'agonie et la mort... Ces teintes mornes et peu enviés, ce sont celles qui revètent et sies Märchen tant et si bien, que la terrible fatalité qui nous guette tous aurait elle-même fuit en le voyant. Avec cette allure si pure et attirante, mais en même temps repoussante et horrifiante, beaucoup de personnes pensent et affiment que Märchen serait la personnification même de ce qui nous emportera tous, qui que nous sommes et quoi que nous fassions. Oui, il pourrait être l'immuable trépas.

De sa peau aussi pâle, froide et livide que le Styx, fleuve des enfers par où passe chaque mort pour aller dans l'au-delà, se détache avec une violence comparable à celle de la faucheuse ses longs et sombres cheveux. Ah! Ces beaux et noirs cheveux qui se contrastent eux-même avec les fins et effrayants yeux parmes qui font glacer le sang de quiconque regarderait ces yeux étranges et effrayant, ces yeux de Glen. Par ailleurs, l'on dit même que Thanatos, le grand dieu de la mort qui juge chaque âme, n'en a de semblables tant le regard de Mär est vif et plein d'envie de sang et de vengance.
Sur sa blanche peau, les habits pour le moins peu commun du jeune homme, dont la teinte est pourpre et ébène une fois de plus, lui rajoutent aussi un aspect intépide et mobide. Sous son vif veston rouge et sa sombre queue-de-pie, Märchen porte une chemise blanche immaculée tel de la neige auquel est attaché une lourde chaine, qui est elle aussi noir, tombant et se reliant au bout de ses longues manches qui ne laissent apparaitre que ses fines et belles mains blanche souvent souillées de sang rouge sombre.
Pour le bas de son corps, le jeune homme a un pantalon noir et blanc ainsi que des bottes aussi sombres et inquitantes que l'Abysse tant elles ont baigné dans une marre de sang engandré par l'interminable folie que porte Märchen dans son cœur.

Description mentale:

Märchen... Mais comment pourrais-je bien vous décrire cet... homme ? Que dire de cet étrange individu au visage de la mort qui peut tout aussi bien être guidé par sa gentillesse sans égale que maitrisé par sa terrible et effrayante envie de sang ? Et qui est-il vraiment ? Est-ce une personne à la bonté sans limite et pouvant rire de bon cœur ou plutôt quelqu'un de mauvais au sourire narquois et méprisable ? Pour tout vous dire, Märchen est tout cela à la fois: il est la lumière tout autant qu'il est les ténèbres. Eh oui, Märchen est un homme à double personnalité, tiraillé entre le paradis et les enfers.

Dans son « bon » côté, Mär est aimant, doux et si naïf qu'il est est presque bête. Quand il est cette facette pure et immaculée, il prend plaisir à aimer, aider ou servir les gens qui l'entourent, essayant... et croyant faire de son mieux pour rendre ceux-ci le plus heureux possible, peu importe qui ils peuvent être. Ce que ce Mär-ci aime par dessus tout, c'est errer dans les jardins, pépinières (et tout ce qui s'en suit) pour y sentir le doux et enivrant parfum des fleurs. Cependant Märchen ne peut supporter les traitres (ou les traitresses, tout dépend du sexe de celui ou celle-ci) et cela autant qu'il déteste être laissé de côté par les autres. Et si par hasard (et par malheur surtout) notre jeune schizophrène venait à en croiser, il n'hésiterait pas à laisser la place à son « deuxième lui » (sa personnalité ténébreuse) afin qu'il s'occupe d'eux et qu'il repeigne les murs en rouge.

Ce « sombre » côté, justement, lui, est sournois, pervers et même sadique au point décorer sa maison avec des têtes sans corps et des mains coupées. De plus, quand il est cette facette souillée et vicieuse, notre ami Mär a pour passion et passe-temps de liquider ou agresser physiquement (tant le viole que la torture) comme mentalement tous les malheureux qui se trouve sur son noir chemin. Ce que celui-ci aime surtout, c'est de trainer dans les bars ou les auberges peu recommandés ( niveau fréquentation bien sûr. Je ne critique ni nourriture ni boissons.) afin d'y trouver bagarres et bières. Mais contrairement à son caractère encore plus pourris que les cadavres cachés dans son congélateur fort et à son apparence de brute épaisse, ce Märchen « noir » n'a qu'une peur: être seul. Un psychopathe de première catégorie qui a la phobie de la solitude ne peut qu'avoir dans un fond très lointain et très bien caché un cœur d'artichaut, non ? Sa rencontre avec Elyse lui sera d'ailleurs bénéfique pour cela: il sentira moins cette désagréable solitude (bien que cette compagnie est loin d'être la meilleure...)

Biographie:

Cette histoire commence bien ailleurs, de l'autre coté des frontières de ce pays maudit ou un terrible évènement venait de se passer. C'est en effet assez loin de la tragédie de Sabrie que Märchen vivait, bien tranquillement, une bonne vie de famille pleine de joie dans un pays à l'étranger.
Le jeune homme, quelques mois auparavant, venait de se marier à une femme Merveilleuse: elle était belle d'apparence et belle de coeur. Märchen aimait son doux sourire et ses beaux cheveux châtains et soyeux. Il l'aimait vraiment plus que tout, c'était son trésor, sa lumière, son soleil.
Mais depuis ce matin même, il était transis de joie: sa femme venait de lui annoncer une grande nouvelle.


Il rigola de bon coeur puis la serrait tendrement dans ses bras, heureux. Les beaux jours s'écoulaient ainsi, Doucement, tel un fin fleuve tranquille. Lui, il faisait tout pour que sa chère tendre n'ai aucun problème durant sa grossesse, il l'aidait et l'aimait. Elle, gênée, ne cessait de lui répéter que tout allait bien, qu'il n'avait pas besoin d'en faire autant. Mais en vain. Elle finit tout de même par se laisser faire pour ne pas contrarier son doux mari. Les 9 mois passèrent ainsi, dans le calme et la tranquillité... Ou presque.

Même si notre jeune couple (et bientôt trio) n'y prêtait guère attention, des étranges "crimes" avaient lieu: en effet, dans le pays, des cadavre déchiquetés et ensanglantés laissaient entendre le bruits que les "monstres" du pays voisins venaient ici pour tuer les humains. Mais ils n'en avaient que faire, bientôt, leurs fille naîtrait et cela les préoccupaient plus que ces morts qui devenaient de plus en plus nombreux.

Seulement, je pense que tu ne le sais que trop bien, toi, Invité, que les jours heureux ne viennent jamais sans malheurs...

La petite Rozen venait de venir au monde quelques mois auparavant, mais la sécheresse était fort conséquente et la femme de Märchen dû aller tirer de l'eau au puit. Loin de penser que quoi que se soit arriverait et sachant que le puit n'était pas loin, il la laissa faire. Pourtant, pendant toute la journée durant, il ne la vit revenir. Lorsqu’il alla, au soir, à son tour au puit pour voir si sa femme y était, il ne vit qu'un espèce de monstre noir au yeux à la couleur du sang en train de se régaler de la chaire de sa femme. Il se précipita vers le cadavre, en essayant de croire que ce n'était pas elle. Mais, son visage dans ses mains, il vit qu'il ne s'était pas trompé. En voyant le sang de celle qu'il aimait plus que tout sur ses mains, il fut prit de panique et d'horreur et il hurla de toutes ses forces, espérant que quelqu'un viendrait et verrait le monstre pour le brûler, le torturer et tout ce qui peut s'en suivre. Mais l'abomination avait disparu quand les gens du village arrivèrent.

Ils regardèrent longuement le jeune homme, et, voyant qu'il avait les mains pleines de sang, ils croyèrent que c'était lui le mystérieux tueur qui ravageait hommes femmes et enfants depuis des mois et des mois. Ils l'exilèrent donc loin de ce pays, loin de sa maison, loin de la tombe de sa bien-aimée, loin de sa fille. Loin de tout ce qu'il avait.

Il marchait sans s'arréter.
Il marchait à travers plaines et forêts.
Il marchait dans la faim et dans la soif.

La soif de se venger.

Désormais il tuerait, comme ce qu'on l'accusait de faire.

Il tuerait. Encore et encore.

Il tuerait au point d'en devenir la mort.


Et pendant des années et des années, certains malheureux eurent le malheur de croiser le jeune Märchen. Les filles, il les attiraient, les séduisaient et les tuaient, quand aux hommes et aux enfants, il leur retirait la vie immédiatement sans se poser de questions.


Pourtant, cette fois-ci, alors qu'il croyait être seul tout-à-fait après son meutre, une voix étrange et tapi dans l'ombre lui répondit:


Märchen tomba à genous, bouleversé. Il fixa longuement ses mains avant de les porter à son visage, laissant couler des lourdes larmes. Était-ce donc à cause de ses yeux que tout cela était arrivé? Était-ce vraiment par sa faute que sa femme était morte et sa fille abandonnée à elle-même?
La voix, apparement satisfaite, continua:


Le silence qui suivit ces parloes fut lourd et long.

Pourtant, après cet instant qui paraissait interminable, le jeune homme releva doucement la tête. Son visage était semblable à celui d'un petit garçon perdu et abandoné, ne savant que faire. Il pensait, c'est tout. La pluie commença à tomber tel les larmes que Märchen avait versé peu de temps avant, c'était comme si elle partagait les sentiments du jeune homme. Ses yeux parme fixaient le vide. Un néant qui se remplit bientôt de paillettes d'or et de lumière. Le chemain dont parlait la voix tout-à-l'heure était là.


À ce moment là, à peine avait-il eut le temps de se relever en disant cela qui le sol sous ses pieds se mis à trembler juqu'à s'ouvrir tout-à-fait.
Il vit alors celle avec qui il venait de passer un contrat. Il ignorait pourquoi mais sa poitrine le fit souffrir au moment où l'apparition lui prit la main. Mais il s'en fichait. Il la regardait longuement: c'était une jeune fille blonde qui parraisait humaine malgré le fait que son étrange regard bleu et ses habits poupre et noir lui donnaient l'impression d'être le fruit d'une création du diable lui-même. Sa nouvelle compagne de voyage était étrangement ressemblante à sa défunte femme si ce n'est que la couleur de ses cheveux n'étaient pas la même.


Même si il ne comprenait qu'un seul mots sur deux, il suivit Elise pensant qu'il serait bientôt Glen et que bientôt, il pourrait se venger...


Elyse est un Chain ayant l'apparence d'un fillette au visage mignon, aux longs et beaux cheveux blonds, aux grands et adorables yeux bleus, à la taille d'un poireau (c'est à dire très petit) et au rire machiavélique comme ceux des poupées maléfiques dans les livres écrits pour faire peurs au petits enfants. Elle est habillée de rouge et de noir et a un sourire de psychopathe collé aux lèvres, ce qui lui donne encore plus l'air d'une sorcière tout droit sortie d'un conte. De plus, elle est tout simplement stupide. Elyse sait juste tuer et faire peur sans même le vouloir. Ses pouvoirs s'arrêtent là.



Comment avez-vous découvert ce forum ?: Je suis... TON PERE!! Glen '-'
Aimez-vous le design ?: voui~
Votre niveau de RPG: entre le moyen et l'élevé
Autre : GNIAWA~

Re-bienvenue Glen ! Je rêve ou tu m'a parlé dans ton histoire ? Si c'est vrai ( Et que ce n'est pas mon imagination ) j'en suis très heureuse !^^

Chiiiiiiiic!Un new Glen *w* Très jolie fiche ^-^ J'ai hâte de lire la suite

Lila? Ou ça? ôOô
Désolé si je brise tes rêves mais, non, Je ne t'ai mis nul part dans ma présentation... Si tu te vois, je te pris de m'excuser mais c'était pas mon intention...
... En tout cas, re-merci pour le chaleureux accueil ^w^

Mais non ! ce n'est pas mon imagination !!! ( Enfin je crois... =.=''')

Tu as bien marqué ça non ?

Citation :

Seulement, je pense que tu ne le sais que trop bien, toi, Lila Bezarius, que les jours heureux ne viennent jamais sans malheurs...

Sinon, c'est que je suis vraiment folle ou que je comprends pas bien le français... =.= "

Ooooohhhh !!! *o* Merci Twinkle ! Et désolé pour mon erreur Märchen... >.<'''

Merci pour l'explication Twinkle!

Moi aussi j'ai vu mon nom mais quand je me suis co' avec mon CB et que j'ai vu Leo j'ai trouver ça louche... ._.

Bref,j'éspère te voir bientôt RP avec nous -w- !